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3.4.0 - mardi 8 décembre 2020 |
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Mylenefans.orgfree.com |
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Paroles A force de / Du temps |
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A
l'envers Cette
terre Il
pleut sur Vienne La vie
est belle A force
de mourir Je n'ai
pas su te dire Que
j'ai envie de vivre Donner
l'envie de vivre A force
de courir De
perdre l'équilibre Moi
j'ai envie de vivre Donner l'envie
de vivre La
force des rapides Des
vents qui se déchirent Me
donnent l'envie de vivre Donner
l'envie de vivre A force
d'étincelles Que la
nature est belle Moi
j'ai envie de vivre Et de
mourir sans chaînes Impalpable Cette
flamme La vie
est belle Quand
on aime |
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L'onde est si calme Un présage d'automne La, la peur s'engage Sur mon visage Le doute frissonne Suis-je faite pour les rêves ? D'une voix faible, Dis moi de ne plus être A l'ombre Risquer de n'être personne On se cache et l'on se cogne A l'ombre On se coupe de soi même On s'arrache un signe au ciel A l'ombre Et sans dire que l'on se lâche Que rien ni personne ne sache Quand la nuit tombe Las de cette vie trop brève On devient l'ombre de soi même L'âme est la lumière Mais l'âme erre Sur tous les chemins Mon cœur se ferme Le diable harcèle Nos lendemains Et là sous les érables Le froid se cabre Mais toi, dis moi De ne pas être A l'ombre Risquer de n'être personne On se cache et l'on se cogne A l'ombre On se coupe de soi même On s'arrache un signe au ciel A l'ombre Et sans dire que l'on se lâche Que rien ni personne ne sache Quand la nuit tombe Las de cette vie trop brève On devient l'ombre de soi même A l'ombre Risquer de n'être personne On se cache et l'on se cogne A l'ombre On se coupe de soi même On s'arrache un signe au ciel A l'ombre Et sans dire que l'on se lâche Que rien ni personne ne sache Quand la nuit tombe Las de cette vie trop brève On devient l'ombre de soi même |
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Poussière vivante, je cherche en vain ma voie
lactée Dans ma tourmente, je n'ai trouvé qu'un mausolée Et je divague J'ai peur du vide Je tourne des pages Mais ... des pages vides Poussière errante, je n'ai pas su me diriger Chaque heure demande pour qui, pour quoi, se
redresser Et je divague J'ai peur du vide Pourquoi ces larmes Dis... à quoi bon vire Mais mon Dieu de quoi j'ai l'air Je sers à rien du tout Et qui peut dire dans cet enfer Ce qu'on attend de nous, j'avoue Ne plus savoir à quoi je sers Sans doute à rien du tout A présent je peux me taire Si tout devient dégoût Poussière brûlante, la fièvre a eu raison de moi Je ris sans rire, je fais n'importe quoi Et je divague J'ai peur du vide Je tourne des pages Mais ... des pages vides Mais mon Dieu de quoi j'ai l'air Je sers à rien du tout Et qui peut dire dans cet enfer Ce qu'on attend de nous, j'avoue Ne plus savoir à quoi je sers Sans doute à rien du tout A présent je peux me taire Si tout devient dégoût |
|
Le réel
se dérobe Les
anges m'ont dit que rien Ne nous
est envoyé Qu'on
ne peut supporter Un,
deux, et passe et lasse Et moi
je passe hélas Questionnant
l'infini Fermant
porte à l'oubli Et d'un
tour de clé Comme
un sourd muet Nul
besoin de barreaux, de croix On
s'enferme tout seul parfois Et
l'amour, je sais A
portée, t'aimer Les
fantômes nous laissent en paix Tyrannie
des secrets gardés La vie
ne vaut rien mais, Mais
rien ne vaut la vie C'est
Epsilon plus que petit C'est
Epsilon pourtant l'envie Et la
vie passe et lasse Et la
bête passe et chasse Toute
forme de résistance Si elle
menait la danse Et d'un
tour de clé Comme
un sourd muet Nul
besoin de barreaux, de croix On
s'enferme tout seul parfois Et
l'amour, je sais A
portée, t'aimer Les
fantômes nous laissent en paix Tyrannie
des secrets gardés A
rebours de tout, Du bon
sens, s'en fout Je
rêvais d'enfreindre et mettre en terre Ignorer,
tout foutre en l'air Pour
gagner les cimes Tout
simplement vivre Oh mon
verrou qui semblait lâcher Je
crains qu'il ne me manque la clé Et d'un
tour de clé Comme
un sourd muet Nul
besoin de barreaux, de croix On
s'enferme tout seul parfois Mais
l'amour, je sais A
portée, t'aimer Aidez-moi
à retrouver les clés Il faudra bien
m'apaiser, enfin... |
|
De
mutilation En
soustraction Agnus
Dei Te voir
en chair J'en
perds la tête De
mutilation En
convulsion Te voir
ici Quelle
hérésie Les
bras m'en tombent De
mutilation En
génuflexion Excommuniée
J'ai
les pieds et Les
poings liés De
mutilation En
extrême onction Agnus
Dei Moi
l'impie Je suis
saignée aux quatre veines "Agnus
Dei Qui
tollis Peccata
mundi Miserére
nobis Miserére
nobis"... Je
m'éloigne de tout Je suis
loin de vous... |
|
Souvenir
de nos... Fiançailles
En
bataille Souvenir
des mots Flux de
taille ! Un jeu
de failles Souvenirs
d'émois de mai Qui
affolaient Tous
les sols... et Soutenir
le monde "aimer" A la
force de nos poignets...d'amour Aime Tous
les maux sont les mêmes Quand
on aime Du
pareil au blême Aime la
lie, l'anamour Quoi de
mieux quand on saigne Moi
j'aime... les "je" de l'amour Qu'il
pleuve ou qu'il vienne Souvenirs
de Palerme Qui
s'élèvent Dans le
ciel Souvenir
d'un soleil Un seul
être Me
pénètre Sous
reflex je pose à nue... Je suis
surex... Rien ne
m'ex... ...pose
plus qu'à l'inconnu Je lui demande si
l'amour est tendre... |
|
Bulle
de chagrin Boule
d'incertitude Tant de
matins Que
rien ne dissimule Je veux
mon hiver M'endormir
loin de tes chimères Je sais
bien que je mens Je sais
bien que j'ai froid dedans Bulle
de chagrin Boule
d'incertitude De nos
destins Naît
que solitude Tu dis
qu'il faut du temps Qu'aimer
n'est pas un jeu d'enfant Je sais
bien que tu mens Mais je
suis si seule à présent Ainsi
soit je Ainsi
soit tu Ainsi
soit-il Ainsi
moi je Prie
pour que tu Fuies mon
exil Mais
quel espoir Pourrais-je
avoir Quand
tout est noir? Ainsi
soit je Ainsi
soit tu Ainsi
soit ma vie Tant
pis Bulle
de chagrin Boule
d'incertitude Deux
orphelins Que le
temps défigure Je
voudrais mon hiver M'endormir
loin de tes chimères Tu sais
bien que je mens Tu sais
bien que j'ai froid dedans Ainsi
soit je Ainsi
soit tu Ainsi
soit-il Ainsi
moi je Prie
pour que tu Fuies
mon exil Mais
quel espoir Pourrais-je
avoir Quand
tout est noir? Ainsi
soit je Ainsi
soit tu Ainsi
soit ma vie Tant
pis Ainsi
soit je Ainsi
soit tu Ainsi
soit-il Ainsi
moi je Prie
pour que tu Fuies
mon exil Mais
quel espoir Pourrais-je
avoir Quand
tout est noir? Ainsi
soit je Ainsi
soit tu Ainsi
soit ma vie Tant
pis Ainsi
soit je Ainsi
soit tu Ainsi
soit-il Ainsi
moi je Prie
pour que tu Fuies
mon exil Mais
quel espoir Pourrais-je
avoir Quand
tout est noir? Ainsi
soit je Ainsi
soit tu Ainsi
soit ma vie Ainsi
soit je Ainsi
soit tu Ainsi
soit-il Ainsi
moi je Prie
pour que tu Fuies
mon exil Mais
quel espoir Pourrais-je
avoir Quand
tout est noir? Ainsi
soit je Ainsi
soit tu Ainsi
soit ma vie Tant
pis |
|
Mon
Alice, Alice Araignée
maltèque Mon
Alice, Alice Arachné
hichtek Mon
Alice, Alice Pendue au
bout de son fil Dépressive
l'artiste Exit,
exit Dans ta
boite Toutes
tes pattes Le
black-out Petite
âme Comme
tu me manques Comme
tu me manques Comme
tu me manques L'araignée |
|
Pauvres
poupées Qui
vont qui viennent Allan
Allan Pauvre
fantôme Étrange
et blême Allan
Allan J'entends
ton chant monotone La nuit
frisonne Allan
Allan J'entends
ton cœur fatigué D'avoir
aimé Allan
Allan D'étranges
rêveries comptent mes nuits D'un
long voyage où rien ne vit D'étranges
visions couvrent mon front Tout
semble revêtu d'une ombre L'étrange
goût de mort S'offre
mon corps Saoule
mon âme jusqu'à l'aurore L'étrange
Ligeia renaît en moi De tout
mon être je viens vers toi ! Masque
blafard Tu
meurs ce soir Allan
Allan Masque
empourpré De sang
séché Allan
Allan D'où
vient ta peur du néant Tes
pleurs d'enfant Allan
Allan Qui
sont les larmes De tes
tourments ? Allan
Allan |
|
L'ange,
parle-moi ! Le plus
vaste des cœurs se brise Parle-moi
! L'hiver
pourvu qu'on le cultive Dans
cette pièce, Nul
semble respirer, Ici,
c'est un ... Abri
qui m'a été donné ! Don't
let me die, l'ange Don't
let me die, l'archange Tu sais
le temps qu'il faut pour apaiser Nos
peines Don't
let me die, Et dis
encore je t'aime Parle-moi
! Pourquoi
cette couleur trompeuse ? Ange,
parle-moi ! De voir
qu'en lui, ils étaient deux Je sais
ce que... Mentir
veut dire pour moi, Tu
sais, Dieu a
rompu Son
pacte avec cet étranger ! Don't
let me die, l'ange Don't let
me die, l'archange Tu sais
le temps qu'il faut pour apaiser Nos
peines Don't
let me die, Et dis
encore je t'aime Parle-moi,
parle-moi Dis-moi
si tu es là ? Ange,
parle-moi, parle-moi Dis-moi
si tu es là ? |
|
Qui
entre dans l'histoire Entre
dans le noir Histoire
d'y voir Mon
plus beau geste J'ai un
pillow du soir Un
pillow de star Sans
pillow je n'ai Plus
l'envie d'être Qui
entre dans l'histoire Cache
derrière un fard, noir La peur
des regards Qui
glissent et blessent J'ai un
pillow en plumes En
forme de lune En
forme de dune Refais
le geste Appelle
mon numéro J'humeur
à zéro Appelle
mon numéro J'ai le
sang si chaud Appelle
mon numéro Viens
dans mon sillage Ni trop
sage Ni
collage Juste
ce qu'il me faut Appelle
mon numéro Compose
ma vie Appelle
mon numéro Fais-moi
l'hallali Appelle
mon numéro Donne-moi
le "la" Lalalala
Lalalala
Appelle-moi
Qui
entre dans l'histoire Entre
dans le noir Velours
d'un boudoir Et pour
le reste... J'ai un
pillow duvet Sans
pilosité Sans
pillow je n'ai Plus
rien à mettre Allégorie,
viens là Délit
de l'émoi Mon
au-delà, c'est l'i… …vresse
du geste À la
folie j'ai "l'a...llo" Qui me
dit : au lit, là ! L'embellie
c'est l'o... Reiller,
de rêve |
|
A-t-on
jamais les mots pour se
convaincre d'oublier ? Marcher
vers l'échafaud ou faut
il se réfugier ? A-t-on
jamais vu mer se cabrer,
se déchirer moi j'aurais
voulu te plaire que tu
restes à mes cotés Alléluia aller
où tu vois les
montagnes Alléluia Donner
tout de moi pour
t'y voir D'affronter
tant de nuits les
désastres du passé j'ai
oublié de vivre d'accrocher
l'astre à mon pied A trop
vouloir ton cœur, dis rien
pour me raccommoder c'est
toi qui m'as donné vie ce soir
je pose mes clefs |
|
Beau C'est
si beau! Ton
corps Glissant
sur ma peau Chaud Que
c'est chaud ! Ta
bouche Soufflant
sur mes mots Long Oh,
c'est long! Le
temps Du
dernier frisson Froid Qu'il
est froid Ce
silence Qui
grelotte en moi Au bout
de la nuit Sans
vie, je m'enfuis Au bout
de l'envie Tout
meurt sans cri Chut ! Tout
est vide Tout
est ride Suicide Je
t'aime Oh, je
t'aime Sans
toi Il me
reste quoi ? Au bout
de la nuit Sans
vie, je m'enfuis Au bout
de l'envie Tout
meurt sans cri Je
t'aime |
|
La
sottise, l'erreur, le péché, la lésine, Occupent
nos esprits et travaillent nos corps, Et nous
alimentons nos aimables remords, Comme
les mendiants nourrissent leur vermine. Nos
péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Nous
nous faisons payer grassement nos aveux, Et nous
rentrons gaiement dans le chemin bourbeux, Croyant
par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur
l'oreiller du mal c'est Satan Trismégiste Qui
berce longuement notre esprit enchanté, Et le
riche métal de notre volonté Est
tout vaporisé par ce savant chimiste. C'est
le Diable qui tient les fils qui nous remuent ! Aux
objets répugnants nous trouvons des appas ; Chaque
jour vers l'Enfer nous descendons d'un pas, Sans
horreur, à travers des ténèbres qui puent. Ainsi
qu'un débauché pauvre qui baise et mange Le sein
martyrisé d'une antique catin, Nous volons
au passage un plaisir clandestin Que
nous pressons bien fort comme une vieille orange. Serré,
fourmillant, comme un million d'helminthes, Dans
nos cerveaux ribote un peuple de Démons, Et,
quand nous respirons, la Mort dans nos poumons Descend,
fleuve invisible, avec de sourdes plaintes. Si le
viol, le poison, le poignard, l'incendie, N'ont
pas encore brodé de leurs plaisants dessins Le
canevas banal de nos piteux destins, C'est
que notre âme, hélas! n'est pas assez hardie. Mais
parmi les chacals, les panthères, les lices, Les
singes, les scorpions, les vautours, les serpents, Les
monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants, Dans la
ménagerie infâme de nos vices, II en
est un plus laid, plus méchant, plus immonde ! Quoiqu'il
ne pousse ni grands gestes ni grands cris, Il
ferait volontiers de la terre un débris Et dans
un bâillement avalerait le monde ; C'est
l'ennui ! L'œil chargé d'un pleur involontaire, II rêve
d'échafauds en fumant son houka. Tu le
connais, lecteur, ce monstre délicat, -
Hypocrite lecteur, - mon semblable, - mon frère ! |
|
Âpreté
des sons Tourmente
des vents Mémoire...
Qui
m'oublie, qui me fuit Jésus !
J'ai peur Jésus !
De l'heure... Qui me
ramène A des
songes emportés, A des
mondes oubliés, oh Jésus!
J'ai peur De la
douleur... Des
nuits de veille Mémoire
inachevée, Qui ne
sait... où elle naît Avant
que l'ombre, je sais Ne
s'abatte à mes pieds Pour
voir l'autre côté Je sais
que... je sais que... j'ai aimé Avant
que l'ombre... gênée Ne
s'abatte à mes pieds Pour
voir l'autre côté Je sais
que j'aime, je sais que j'ai... Jésus !
J'ai peur Oh !
Jésus ! Seigneur ! Suis-je
coupable ? Moi qui
croyais mon âme Sanctuaire
impénétrable Jésus !
J'ai peur Jésus !
Je meurs De
brûler l'empreinte Mais
laisser le passé Redevenir
le passé |
|
Je
n'comprends plus pourquoi J'ai du
sang sur mes doigts Il faut
que je te rassure Je
soignerai bien tes blessures mon amour Tu n'as
plus vraiment le choix Nos
deux corps étendus, là Qu'à
l'aube ils se mélangent Là tu
as les yeux d'un ange mon amour Lâche !
It's
beyond my control C'est
plus fort que... Toi Toujours
en cavale It's
beyond my control Tu dis
: J'ai besoin de... Tes bras Oh lâche ! It's beyond my control Mais
c'est plus fort que... Toi Tu nous
fais du mal It's
beyond my control Ne
t'éloignes pas de mes... Bras Je
n'comprends plus pourquoi J'ai du
sang sur mes doigts Dors en
paix je t'assure Je
veillerai ta sépulture mon amour C'était
plus fort que moi Même si
je sens là l'effroi Envahir
tout mon être Je te
rejoindrai peut-être mon amour Lâche !
It's
beyond my control C'est
plus fort que... Toi Toujours
en cavale It's
beyond my control Tu dis
: J'ai besoin de... Tes bras Oh lâche ! It's beyond my control Mais
c'est plus fort que... Toi Tu nous
fais du mal It's
beyond my control Ne
t'éloignes pas de mes... Bras |
|
Je
marche vers les ténèbres Vers
l'horizon funeste Mais la
vie qui m'entoure et me baigne Me dit
quand même ça vaut la peine Et qui
peut se mouvoir Dans ce
convoi de larmes Je te
dédie ma mort Et je
saigne, saigne encore Mais La
bataille est belle Celle
de l'amour Disperse
tout La
bataille est celle De
longs, longs jours Mon
amour L'on
peut se retourner Mais le
ruisseau ressemble à l'eau Quand
tu pars Il n'en
reste qu'un bleu noir Je
tombe en défaillance Vienne
ma délivrance Me dit
quand même qu'au fond de ma peine Survit
un cœur couleur vermeille Qui
bat, car La
bataille est belle Celle
de l'amour Disperse
tout La bataille
est celle De
longs, longs jours Mon
amour |
|
Aéroport,
aérogare Mais
pour tout l'or m'en aller C'est
le blues, l'coup d'cafard Le
check out assuré Vienne
la nuit et sonne l'heure Et moi
je meurs Entre
apathie et pesanteur Où je
demeure Changer
d'optique, prendre l'exit Et
m'envoyer en Amérique Sex
appeal, c'est Sunset C'est
Marlboro qui me sourit Mon
amour, mon moi, Je sais
qu'il existe La
chaleur de l'abandon C'est
comme une symphonie C'est
sexy le ciel de Californie Sous ma
peau j'ai L.A. en overdose So sexy le spleen d'un road
movie Dans
l'rétro ma vie qui s'anamorphose J'ai
plus d'I.D, mais bien l'idée De me
payer le freeway C'est
l'osmose, on the road De
l'asphalte sous les pieds Vienne
la nuit, c'est le jet lag Qui me
décale L.A.P.D
me donne un blâme C'est pas
le drame Se
faire un trip, s'offrir un streap Sous le
soleil en plein midi Six
a.m, j'suis offset J'suis
l'ice dans l'eau, j'suis mélo, dis Mon
amour mon Wesson Mon
artifice La
chaleur du canon C'est
comme une symphonie C'est
sexy le ciel de Californie Sous ma
peau j'ai L.A. en overdose So sexy le spleen d'un road
movie Dans
l'rétro ma vie qui s'anamorphose |
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Vanité
c'est laid Trahison
c'est laid Lâcheté
c'est laid Délation
c'est laid La
cruauté c'est laid La
calomnie c'est laid L'âpreté
c'est laid L'infamie
c'est laid aussi (hahahaha !) Les
cabossés vous dérangent Tous
les fêlés sont des anges Les
opprimés vous démangent Les
mal-aimés, qui les vengent ? Les
calamités dérangent Les
chaotiques sont des anges (c'est dans l'air) Pas
comme les autres, démangent Les
bons apôtres j'les mange (c'est dans l'air) (Refrain) C'est
dans l'air C'est
dans l'air C'est
dans l'air, c'est nécessaire Prendre
l'air Respirer Parfois
piquer la poupée C'est
dans l'air C'est
dans l'air C'est
dans l'air, c'est millénaire S'enivrer Coïter Quid de
nos amours passés C'est
dans l'air C'est
dans l'air C'est
dans l'air, c'est salutaire Sauf
qui peut Sauve
c'est mieux ! Sauf
qu'ici, loin sont les cieux C'est
dans l'air C'est
dans l'air C'est
dans l'air, c'est nucléaire On s'en
fout On est
tout On
finira au fond du trou Et moi
je chante Moi je
m'invente une vie Fatuité
c'est laid La
tyrannie c'est laid La
félonie c'est laid Mais la
vie c'est ça aussi Tous
les rebuts vous dérangent Pourtant
les fous sont des anges (c'est dans l'air) Les
incompris vous démangent Que
faire des ruses que fait le vent ? (C'est dans l'air) (Refrain) C'est
dans l'air C'est
dans l'air C'est
dans l'air, c'est nécessaire Prendre
l'air Respirer Parfois
piquer la poupée C'est
dans l'air C'est
dans l'air C'est
dans l'air, c'est millénaire S'enivrer Coïter Quid de
nos amours passés C'est
dans l'air C'est
dans l'air C'est
dans l'air, c'est salutaire Sauf
qui peut Sauve
c'est mieux ! Sauf
qu'ici, loin sont les cieux C'est
dans l'air C'est
dans l'air C'est
dans l'air, c'est nucléaire On s'en
fout On est
tout On
finira au fond du trou Et moi
je chante Moi je
m'invente une vie (c'est dans l'air) (Refrain) C'est
dans l'air C'est
dans l'air C'est
dans l'air, c'est nécessaire Prendre
l'air Respirer Parfois
piquer la poupée (c'est dans l'air) C'est
dans l'air C'est
dans l'air C'est
dans l'air, c'est millénaire S'enivrer Coïter Quid de
nos amours passés (c'est dans l'air) C'est
dans l'air C'est
dans l'air C'est
dans l'air, c'est salutaire Sauf
qui peut Sauve
c'est mieux ! Sauf
qu'ici, loin sont les cieux (c'est dans l'air) C'est
dans l'air C'est
dans l'air C'est
dans l'air, c'est nucléaire On s'en
fout On est
tout On
finira au fond du trou (c'est dans l'air) Et moi
je chante (c'est dans l'air) Moi je m'invente
une vie. |
|
Comme
un crayon sans mine Un bout
de bois Qui
demande l'asile Un peu
plus de toi, toi, toi Indicible
famine Manque
de toi Hum hum J'ose,
le songe est digne Déposer
des baisers Là ou
là Ainsi
la ritournelle La vie
sans son sans sel Pas là Pas
dans la mienne C'est
pas moi Danser
sur une grève La vie
sans pont sans sève Pas là Pas
dans la mienne Pas
comme ça Tous
les sanglants de ciel Éclairez-moi
! La vie,
mais que vaut-elle Sans
danger, sans sexe Et sans
choix ? Marcher
sa vie entière à Côté de
soi Tant
d'âmes se méprennent Un oui Un non Une
ligne droite |
|
Allongé
le corps est mort Pour
des milliers C'est
un homme qui dort... A
moitié pleine est l'amphore C'est à
moitié vide Qu'on
la voit sans effort Voir la
vie, son côté pile Oh
philosophie Dis-moi
des élégies Le
bonheur Lui me
fait peur D'avoir
tant d'envies Moi j'ai
un souffle à cœur Aussi C'est
une belle journée Je vais
me coucher Une si
belle journée Qui
s'achève Donne
l'envie d'aimer Mais je
vais me coucher Mordre
l'éternité A dents
pleines C'est
une belle journée Je vais
me coucher Une si
belle journée Souveraine Donne
l'envie de paix Voir
des anges à mes pieds M'faire
la belle Allongé
le corps est mort Pour
des milliers C'est
un homme qui dort... A
moitié pleine est l'amphore C'est à
moitié vide Que je
la vois encore Tout
est dit puisqu'en amour Si c'est
du lourd Le cœur
est léger Des
élégies toujours Les
plaisirs, les longs, les courts Vois-tu
en amour Moi,
j'ai le souffle court Vois-tu Belle La vie
est belle Comme
une aile Qu'on
ne doit froisser Belle La vie
est belle Et je
vais là Belle La vie est
belle Mais la
mienne Un
monde emporté Elle,
j'entre en elle Et
mortelle, va. |
|
Eh, oh,
ce matin Y a
Chloé qui s'est noyée Dans
l'eau du ruisseau J'ai vu
ses cheveux flotter Là-bas
sous les chênes On
aurait dit une fontaine Quand
Chloé a crié Quand
sa p'tite tête a cogné La la
la la la... Chloé a
coulé C'est
sûr qu'elle avait pas pied Chloé
ma moitié Ce
matin s'en est allée Ton
cœur petite sœur Va sans
doute devenir fleur Sous
les saules qui pleurent L'eau
est de toutes les couleurs La la
la la la... Chloé
si je pleure Tu sais
ça compte pour du beurre Ton
rire me fait peur Est-ce
que tu joues ou tu meurs ? Adieu
petite fée Pendant
longtemps j'ai appelé Adieu à
Chloé Le
courant l'a emportée La la
la la la... Eh oh,
ce matin Y a
Chloé qui s'est noyée Dans l'eau
du ruisseau J'ai vu
ses cheveux flotter Là-bas
sous les chênes On
aurait dit une fontaine Quand
Chloé a crié Quand
sa p'tite tête a cogné La la
la la la... Chloé,
pourquoi t'es partie Chloé,
Chloé... |
|
Quand
la danse cessera Trop
tard Tout
prendra un goût de cendres Hmmm Si seulement
chemin faisant La mort
surgit du néant N'avoir
d'autres vœux que l'autre Même un
instant Les
mots au bout des lèvres Un
chemin vers la vie Si je
m'abandonne Je bâtirai the city of love Oooh Si je
sais que je l'aime Et le
monde et l'envie Si là je
t'attends Je bâtirai the city of love The
city of love Qui ne
connait pas la peur Ne
connait pas le courage Si je
suis de belle humeur Pas de
rage Quand
progressant dans le noir Quand
j'étudie l'infini Je vois
des flocons de neige De
poésie Les
mots au bout des lèvres Un
chemin vers la vie Si je
m'abandonne Je bâtirai the city of love Oooh Si je
sais que je l'aime Et le
monde et l'envie Si là
je t'attends Je bâtirai the city of love The
city of love |
|
Je
bascule à l'horizontal Démissionne
ma vie verticale Ma
pensée se fige animale Abandon
du moi Plus
d'émoi Je
ressens ce qui nous sépare Me
confie au gré du hasard Je vis
hors de moi et je pars A mille
saisons, mille étoiles Comme
j'ai mal Je
n'verrai plus comme j'ai mal Je
n'saurai plus comme j'ai mal Je
serai l'eau des nuages Je te
laisse parce que je t'aime Je
m'abîme d'être moi-même Avant
que le vent nous sème A tous
vents, je prends un nouveau départ Plus de
centre tout m'est égal Je
m'éloigne du monde brutal Ma
mémoire se fond dans l'espace Ode à
la raison Qui
s'efface Je ressens
ce qui nous sépare Me
confie au gré du hasard Je vis
hors de moi et je pars A mille
saisons, mille étoiles Comme
j'ai mal Je
n'verrai plus comme j'ai mal Je
n'saurai plus comme j'ai mal Je
serai l'eau des nuages Je te laisse
parce que je t'aime Je
m'abîme d'être moi-même Avant
que le vent nous sème A tous
vents, je prends un nouveau départ |
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Je veux
du "Vous" Parce-qu'
entre nous, c'est lentement C'est
lent Le
songe est doux Immensité
des sentiments A
perdre haleine Le
"Vous" me sied, le vôtre est plaine Apôtre
j'aime quand le "Vous" me fait un enfant Je veux
du "Vous" Quand
les dessous sont tutoiements C'est
lent C'est à
genoux Que je
vous vois lécher mon sang C'est
blanc A qui
la faute ? Si le
"Tu" a tué romance Le
"Vous", si j'ose Parce-qu'
entre nous c'est lentement Vous,
où ? Et ce
vol mène Là, où
c'est l'apesanteur Vous,
où ? Deux
voyelles s'aiment Là,
sous l'accord majeur Vous,
où ? Et ce
vol mène Là, où
c'est l'apesanteur Vous,
où ? A pas
de loup, j'aime Quand
vous me faîtes peur Je veux
du "Vous" Parce-qu'
entre nous c'est lentement C'est
lent Le
"Vous" est vif Le
ventre gonflé de vos débordements A qui
la faute ? Le
"Vous" se fait suave et tendre, A vous
dirai-je Maman,
que j'aime sa présence Vous,
où ? Et ce
vol mène Là, où
c'est l'apesanteur Vous,
où ? Deux
voyelles s'aiment Là,
sous l'accord majeur Vous,
où ? Et ce
vol mène Là, où
c'est l'apesanteur Vous,
où ? A pas
de loup, j'aime Quand
vous me faîtes peur |
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Réduire
la vie à... Des
formules indécises C'est
bien impossible, elle Tu
vois, se nuance à l'infini C'est
comme une lettre Qui
s'est écrite à l'envers... Coule
dans ma tête Un
monde fou qui veut naître Mais tu
sais, son âme est belle Dans
les rues de Londres J'ai
puisé plus de lumière Qu'il
n'en faut pour voir... Dieu a
des projets pour elle Et les
rues de Londres Souffleront
sur des mystères D'une
autre fois... Virginia Je
remets ma vie à... Un plus
tard abandonné Pour
simplement vivre Tenter
d'atteindre une humanité Des
lambeaux de terre Me
regardaient disparaître Et,
parmi les pierres Je
vivais et j'espérais, tu sais |
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Sexy
coma Sexy
trauma Sexy
coma Sexy
trauma Coma
t'es sexe, t'es styx, Test
statique Coma
t'es sexe, t'es styx, Extatique
Coma
t'es sexe, t'es styx, Test,
test statique Coma
t'es sexe, t'es styx, Esthétique
Ou ou
wa ou Ou wa
ou Dégénération Ou ou
est ou Ou est
où est Ma
génération J'sais
pas moi Mais y
faut qu'ça bouge J'sais
pas moi Mais y
faut qu'ça bouge J'suis
coma là... Mais y
faut qu'ça bouge Faut
qu'ça bouge Faut
qu'ça bouge |
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Nager
dans les eaux troubles Des
lendemains Attendre
ici la fin Flotter
dans l'air trop lourd Du
presque rien A qui
tendre la main Si je
dois tomber de haut Que ma
chute soit lente Je n'ai
trouvé de repos Que
dans l'indifférence Pourtant,
je voudrais retrouver l'innocence Mais
rien n'a de sens, et rien ne va Tout est
chaos A côté Tous
mes idéaux : des mots Abîmés...
Je
cherche une âme, qui Pourra
m'aider Je suis
D'une
génération désenchantée, Désenchantée Qui
pourrait m'empêcher De tout
entendre Quand
la raison s'effondre A quel
sein se vouer Qui
peut prétendre Nous
bercer dans son ventre Si la
mort est un mystère La vie
n'a rien de tendre Si le
ciel a un enfer Le ciel
peut bien m'attendre Dis
moi, Dans
ces vents contraires comment s'y prendre Plus
rien n'a de sens, plus rien ne va Tout
est chaos A côté Tous
mes idéaux : des mots Abîmés...
Je
cherche une âme, qui Pourra
m'aider Je suis
D'une
génération désenchantée, Désenchantée |
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Déshabillez-moi,
déshabillez-moi Oui,
mais pas tout de suite, pas trop vite Sachez
me convoiter, me désirer, me captiver Déshabillez-moi,
déshabillez-moi Mais ne
soyez pas comme Tous
les hommes, trop pressés Et
d'abord, le regard Tout le
temps de prélude Ne doit
pas être rude, ni hagard Dévorez-moi
des yeux Mais
avec retenue Pour
que je m'habitue, peu à peu... Déshabillez-moi,
déshabillez-moi Oui,
mais pas tout de suite, pas trop vite Sachez
m'hypnotiser, m'envelopper, me capturer Déshabillez-moi,
déshabillez-moi Avec
délicatesse, en souplesse, et doigté Choisissez
bien les mots Dirigez
bien vos gestes Ni trop
lents, ni trop lestes, sur ma peau Voilà
ça y est, je suis Frémissante
et offerte De
votre main experte, allez-y... Déshabillez-moi,
déshabillez-moi Maintenant
tout de suite, allez vite Sachez
me posséder, me consommer, me consumer Déshabillez-moi,
déshabillez-moi Conduisez-vous
en homme Soyez
l'homme...Agissez ! Déshabillez-moi,
déshabillez-moi Et
vous...déshabillez-vous ! |
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Sentir ton corps, Tout ton être qui se tord Souriant de douleur Sentir ton heure Poindre au cœur D'une chambre qui bannit le mot tendre Sentir ta foi Qui se dérobe À chaque fois que tu sembles comprendre Parles moi encore Si tu t’endors Si c'est ton souhait Je peux t'accompagner Qui te condamne Au nom de qui Mais qui s'acharne À souffler tes bougies Est-ce te mentir ? Est-ce te trahir ? Si je t’invente des lendemains qui chantent Vois-tu le noir de ce tunnel ? Sais-tu l'espoir quand jaillit la lumière Ton souvenir ne cessera jamais De remuer le
couteau dans ma plaie |
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La lumière est invisible à nos yeux C'est ce qu'ils disent en silence Quand ils sont deux... Hommes et femmes de pierre Aux destins sans gloire Mal étreints, trop fiers J'entends... L'absence d'eux... Derrière les fenêtres Des vies, longtemps, se perdent Derrière les fenêtres J'envie des mondes Qui ressemble aux songes Derrière les carreaux Tombe en lambeaux des êtres Derrière les pâleurs, on sait qu'un Cœur va naître ou disparaître Silhouettes exquises J'imaginais vos cernes Des amants qui sont tranquilles A leurs fenêtres Hommes et femmes dignes Je voudrais rencontrer vos ombres Parler à vos âmes Qui plongent Et qui se signent |
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Et dans ma prison de verre Moi je ne sais plus comment faire J'peux me bander comme personne Les yeux de peur qu on m'abandonne Et puis là pour les sentiments Fais sourde oreille aux compliments J'me sens seule, là allez, je m'épouse Mon âme sœur c'est mon bain de foule quand on est dans la boite à sapin Se lever chaque matin Le ver est dans la pomme (j'ai le trac) Tout m'assomme (diluvien) "Le gouffre" de Baudelaire (je lis
tout) C'est fait, on s'en fout (c'est ma vie) Fais corps avec mon lit (loving you) Tu es où ? Des larmes, des larmes, des larmes, des larmes De peine, de joie sur mes joues, là Sillonnent, sillonnent, sillonnent Des larmes, des larmes, des larmes, à quoi À quoi bon vivre si t'es pas là ? Je m'isole, m'isole, m'isole Et dans ma prison de verre Quand je ne sais plus comment faire J'embrasse vie comme personne Même dieu de peur qu'il m'abandonne Mais voilà pour les sentiments Si j'en ai encore pour longtemps Là, j'me sens seule, un vol pour Toulouse Au sacré cœur pour un bain de foule quand on est dans la boite à sapin Se lever chaque matin Le ver est dans la pomme (j'ai le trac) Tout m'assomme (au refrain) "Le gouffre" de Baudelaire (c'est un
blues) C'est fait, on s'en fout (c'est ma vie) Fais corps avec mon lit (loving you) Tu es où ? Des larmes, des larmes, des larmes, des larmes De peine, de joie sur mes joues, là Sillonnent, sillonnent, sillonnent Des larmes, des larmes, des larmes, à quoi À quoi bon vivre si t'es pas là ? Je m'isole, m'isole, m'isole Des larmes, des larmes, des larmes, des larmes De peine, de joie sur mes joues, là Sillonnent, sillonnent, sillonnent Des larmes, des larmes, des larmes, à quoi À quoi bon vivre si t'es pas là ? Je m'isole,
m'isole, m'isole |
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J'ai connu des putains de ténèbres Et des retenues des enfers Qui brûlent lèvres Et j’ai vu des lumières Des cierges et des mirages Mais j'ai voulu celle que je suis Un brin sauvage Désobéissance à l'audace je fais le serment Des mots d’amour Plus le temps d'être à
contre-jour Désobéissance être soi marcher dans le vent Si le cœur lourd détachée vent de liberté J'ai connu des, des vrais champs de blés J'ai fermé les yeux et la fièvre est tombée J'ai vu des morts mais j'ai saisi le merveilleux Et j'ai voulu
celle que je suis Un nom de dieu Désobéissance à
l'audace je fais le serment Des mots d’amour
Plus le temps d'être à contre-jour Désobéissance
être soi marcher dans le vent Si le cœur lourd
détachée vent de liberté Désobéissance à
l'audace je fais le serment Des mots d’amour
Plus le temps d'être à contre-jour Désobéissance
être soi marcher dans le vent Si le cœur lourd
détachée vent de liberté Désobéissance à
l'audace je fais le serment Des mots d’amour
Plus le temps d'être à contre-jour Désobéissance
être soi marcher dans le vent Si le cœur lourd
détachée vent de liberté |
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Quelle
solitude De
mourir Sans
certitude D'être au
moins Une
particule De vie Un
point minuscule Utile à
quelqu'un Quelle
solitude D'ignorer
Ce que
les yeux Ne
peuvent pas voir Le
monde adulte Isolé Un
monde abrupt Et là,
je broie du noir Dessine-moi
un mouton Le ciel
est vide sans imagination C'est
ça Dessine-moi
un mouton Redevenir
l'enfant que nous étions Dessine-moi
un mouton Le
monde est triste sans imagination C'est
ça Dessine-moi
un mouton Apprivoiser
l'absurdité du Monde Quelle
solitude De se
dire Que la
morsure Du
temps n'est rien Le rêve
est bulle De vie Un bien
majuscule Utile
au chagrin Déconfiture
Des
pépins Mais je
veux croire En
l'au-delà Et
vivre est dur Toujours
un choix Mais je
jure Que le
monde est à moi Dessine-moi
un mouton Le ciel
est vide sans imagination C'est
ça Dessine-moi
un mouton Redevenir
l'enfant que nous étions Dessine-moi
un mouton Le
monde est triste sans imagination C'est
ça Dessine-moi
un mouton Apprivoiser
l'absurdité du Monde Il est
à moi... Il est
à moi... Il est
à moi... Il est
à moi... Le
Monde Dessine-moi
un mouton Le ciel
est vide sans imagination C'est
ça Dessine-moi
un mouton Redevenir
l'enfant que nous étions Dessine-moi
un mouton Le
monde est triste sans imagination C'est
ça Dessine-moi
un mouton Apprivoiser
l'absurdité du Monde |
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Repos
tranquille Heure
inutile Dans
cette chambre La main
qui tremble Ne
reste que les rêves étonnante
chimère Qui
garde son empreinte A fuit
dans son étreinte Allons
ailleurs si tu veux Conduis
moi où tu es mieux Et plus
jamais la même Le vent
fait sourde oreille Flic,
flac Diabolique
est mon ange Tic tac Plus
rien ne nous dérange La
claque Bien
contre lui et tangue Tic tac On
s'est aimé à s'y méprendre Flic,
flac Diabolique
est mon ange Tic tac Plus
rien ne me dérange La
claque Suis
contre lui et tangue Et là S'agenouiller
et puis s'éprendre Vent
j'ai souhaité ta mort Temps
j'ai maudit ton corps Et plus
jamais la même A tout
jamais de celles Qui
entrouvrent fenêtre Qui
parlent et puis se jettent Flic
flac Diabolique
est mon ange Tic tac Plus
rien ne nous dérange La
claque Bien
contre lui et tangue Tic tac On
s'est aimé à s'y méprendre Flic
flac Diabolique
est mon ange Tic tac Plus
rien ne me dérange La
claque Suis
contre lui et tangue Et là S'agenouiller
et puis s'éprendre Dans ma
tête un désordre, Y
remettre un peu d'ordre N'a
jamais vu ma fièvre N'a
jamais dit je t'aime Cependant
je l'aime Cependant
je l'aime Cependant
je l'aime Cependant
je l'aime Et plus
jamais la même Le vent
fait sourde oreille N'a
jamais vu ma fièvre N'a
jamais dit je t'aime Tic Tac Diabolique
est mon ange Tic Tac Diabolique
est mon ange Tic Tac Diabolique
est mon ange Tic Tac Diabolique
est mon ange |
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Du temps du temps Du temps il te faut Du temps du temps Du temps non non non Suppose que je te dise L'amour en est la cause Que nos chemins de vie Parfois nous superposent C'est le mien J'men fous mon chagrin c'est tout L'antidote au pire L'anti pas mourir Moi je veux vivre Aller haut Pouvoir me dire Que c'est beau Mais pas du temps Du temps du temps Qu'il te faut Du temps du temps Du temps non non non Suppose que je te dise Qu'au fond de moi sommeille Un continent de vie De démons et merveilles C'est le mien Mes vous Mon destin S'enroule Autour de tes reins Amour je sens bien Moi je veux vivre Aller haut Pouvoir me dire que c'est beau mais pas du temps Du temps du temps Il te faut Du temps , du temps Du temps non non non Du temps (x4) Non non non Moi je veux vivre Aller haut Pouvoir me dire Que c'est beau Mais pas du temps Du temps du temps Il te faut Du temps du temps Du temps non non non |
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